•  Réédition d'un article  "loupé" lors du transfert, migration d'OB vers Eklablog

    7 septembre 2010 - suite de la journée

    Nous allons commencer la visite de la ville de Québec...

    Cette fois, notre guide se met en retrait, et en position "veille"...ça nous change un peu, car il est branché sur la THT en permanence, et parle, parle smile C'est sûr qu'il a des choses à nous apprendre, mais là à Québec, et aussi à Montréal, (nous le verrons plus tard) il n'est pas habilité à nous servir de guide dans la ville.. Faut pas prendre le boulot des guides locaux.. Donc, nous continuons toujours sous la flotte, et c'est fort dommage..La ville est noyée dans le brouillard et l'humidité, c'est très décevant, pas de bol quoi ! erf Nous nous arrêtons à un carrefour pour permettre au guide local de monter dans le bus. Il n'est pas tout jeune, mais d'emblée, il nous amuse avec son accent quebecois, et ses expressions humoristique d'un "quebecois tricoté pur laine" comme il dit lui aussi. pendant plusieurs heures nous allons visiter les quartiers allant de la ville haute, du bas du château Frontenac, à la Place Royale, dans le vieux Québec, où nous ferons un arrêt prolongé pour entendre les explications de notre nouveau guide. Il a son parapluie heureusement, car la pluie a redoublé, et en plus, il fait "pas ben chaud", comme il dit.. Puis, nous irons vers le Parlement et le port.

    Nous découvrons donc la ville de Québec, la seule ville encore fortifiée en Amérique du Nord. Elle possède un cachet européen, unique sur ce continent. Son charme légendaire en a fait une destination très prisée des voyageurs du monde entier. Samuel de Champlain, son fondateur, originaire de Brouages, petite ville de Charentes Maritimes (que nous connaissons bien pour y être allés souvent pendant nos vacances à l'ile d'Oléron) la qualifiait  "d'une beauté exceptionnelle"

    Nous commençons la visite par la ville haute, et la citadelle, construite en 1820 sur l'emplacement d'une poudrière datant de 1750. Elle est en forme d'étoile, caractéristique des fortifications  à la Vauban, et nous découvrons aussi les plaines d'Abraham qui l'entourent, vastes collines où se tiennent les fux de la Saint Jean, mais qui furent aussi le lieu d'affrontement des troupes françaises et anglaises en 1759. L'Angleterre hélàs sortira vainqueur  de cette bataille.

     

     

     

     

     

     

     

     

     Je précise que l'article original a été perdu dans les limbes d'Over-blog, et aussi d'Eklablog, donc, ici vous voyez des scans des pages de mes carnets de voyages papier

     

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